DE LA VILLE DE PARIS.                                               403
deurs polonais, i oo et no'e 5; 107, - - °- — ^en" tionné 113, 162, 3tg.
Biron (Baron de). Voir Gontaut (de).
Bistrade, bourgeois; — commissaire pour les rentes du Ciergé, 338. Voir LaBistrade (Claude et Jean de).
Blanchard, historiographe du Parlement de Paris; cité, 110, notes 4 et 5.
Blandin, secrétaire du Roi, 4.
Blés. Ordonnances relatives à l'approvisionnement de Paris (blés et autres céréales). Voir Alimentation, Approvisionnement, Magasins publics.
Blondeau, porteur de sel, 126.
Boby, alias Bobye (Pierre), bourgeois, 261, 268, 279, 321,385.
Bocquet, bourgeois, 78.
Bodart, bourgeois, 279.
Boeste. Voir Boueste.
Boileau (Etienne), prévôt de Paris au xm" siècle, 268, note 1.
Bois (Le), nom donné parfois au château royal de Vin­cennes. Voir Vincennes.
Bois (Rue des), à Belleville, 201, note 1.
Boisart, bourgeois, 3i.
Bois de chauffage. En 1572 : 21 août, ordonnance mu­nicipale enjoignant aux marchands de bois de trans­porter à l'intérieur de la Ville toutes leurs provisions de ce combustible emmagasinées dans la banlieue, 9.— 2 el 3 octobre, ordonnance défendant aux charretiers, débardeurs et aux autres ouvriers des ports, qui pro­cèdent au déchargement et à la distribution du bois de chauffage, d'exiger un salaire supérieur h celui qui leur est alloué par les règlements, 3i. — 4 octobre, or­donnance fixant le prix maximum du charbon et du bois de chauffage, 31, 32. — 6 octobre, ordonnance mu­nicipale défendant aux voituriers par eau et passeurs d'introduire dans leurs bateaux, ou d'en enlever, du bois de chauffage sans l'autorisation du Bureau de la Ville; el portant, en outre, que les mandataires de la Cour et des Princes du Sang pourront, sur le vu d'un certificat de leurs chefs, obtenir la livraison du bois nécessaire à ces derniers, 3i, 3a et notes 1 et 2. — 3i octobre, ordonnance analogue à celle du 21 août précédent, 34. — 4 novembre, ordre aux sergents de la Ville et aux mouleurs jurés de constater ia quantité de bois de chauffage existant dans les chantiers de la Ville et chez les voituriers et revendeurs, 37. — 28 novembre, or­donnance enjoignant de transporter par Ierre les pro­visions dc bois de chauffage que l'état de la rivière ne permettrait pas de transporter par eau, 41. — 3 et 4 décembre, ordre aux Quarteniers de constater les quantités de bois de chauffage existant dans les chan­tiers et les maisons particulières, 4 2. — 19 décembre,
. défense aux crocheteurs et débardeurs d'entrer dans les bateaux chargés de bois de chauffage, 43.
------ En 1573:: 17 mars, ordonnance fixant le prix
maximum des différentes sortes de bois de chauffage, 58. — 22 novembre, ordonnance pour faire vendre le bois flotté au rabais, vu l'abondance des arrivages, i4o. — 16 décembre, vente, à la suite d'un arrêt de police, de la charge d'un bateau de cotrets; le Bureau s'op­pose à ce que ladite vente s'effectue par les sergents du Châtelet au lieu des sergents de la Ville, i42.
------ En 1574 : 23 août, nouvelle ordonnance rappelant
les prescriptions édiclées précédemment pour la sur­veillance et la vente du bois de chauffage, 2o3. — 2 5 octobre, injonction aux marchands de bois d'amener dans l'intérieur de la ville toute leur provision de bois de chauffage, 216. — 17 décembre, défense aux pas­seurs, pêcheurs et autres compagnons d'eau, de charger sur leurs bateaux aucun bois de chauffage, 228.
------ En 1575 : 27 avril, injonction aux sergents de la
Ville et aux mouleurs de bois de se transporter au long des rivières de Seine et de Marne, et de faire rentrer à Paris les bois et échalas étant sur lesdites rivières, pour être vendus au prix fixé par les ordonnances précé­dentes, 248. — 20 octobre, ordre aux Quarteniers d'inspecter les maisons et chantiers des marchands de bois, pour rendre compte de la quantité de bois de chauffage qu'ils tiennent en réserve, 3o4. — 2/1 no­vembre, ordonnance fixant le prix maximum du bois de chauffage et rappelant les prescriptions précédem­ment édictées, 307. — 28 décembre, ordonnance aux sergents de la Marchandise de l'Eau de la Ville de se transporter sur les ports aux environs de Paris, jus­qu'à Noisiel, et de faire avaler à Paris toutes provisions de fagots et de cotrets qu'ils y trouveraient, 829.
------ En 1576 : mai, ordonnance fixant le prix maximum
de la vente du bois de chauffage, avec rappel des pres­criptions précédemment édictées sur le même sujet, 38o. — 21 mai, sur la requête des marchands de bois se plaignant de larcins commis h leur détriment, le-Bureau rend une ordonnance interdisant de descendre sur les bateaux et de causer aucuns dégâts à la mar­chandise de bois, sous peine de prison, 381.
Bois des Rigolles, lieu dit au territoire ancien de Belle­ville d'où jaillissent plusieurs sources, 201 et note 2. Voir Aqueducs.
Boisseau (Au), enseigne en la rue Saint-Denis. Voir Bou­cher (Pierre).
Boivin, alias Boyvin (Simon), marchand et bourgeois, 3i, 268, 279.
Bon (Mathurin), lieutenant de la milice bourgeoise, 34, note 3.
Bonamy, historiographe de Paris ; — son mémoire sur les Aqueducs de Paris, cité 202 , note 1.
Bonart, bourgeois, 27.
Bondis, Bondy, localité voisine de Paris.— La forêt de Bondy, où la Ville demande au Roi une concession de 3o arpents en bois taillis pour en confectionner des fas­cines, 328.